Fantasia chez les ploucs / Le bikini de diamants, Charles Williams

Fantasia chez les ploucs / Le bikini de diamants, Charles Williams

13 novembre 2021 0 Par Flo

Ce roman américain, datant de 1956, est d’abord publié sous le nom « The Diamond Bikini ». Il a été traduit en France sous le nom « Fantasia chez les ploucs » puis, il y a très peu, réédité sous le nom « Le bikini de diamants ».

En bref :

  • Titre : Fantasia chez les ploucs (ou Le bikini de diamants)
  • Auteur : Charles Williams
  • Polar
  • Note :  3,5/5
  • Editeur : France loisirs
  • Nb pages : 282

Résumé : Billy, 7 ans, nous raconte les vacances qu’il passe en compagnie de son père chez son oncle Sagamore, oncle qui a le don de pomper l’air du shérif du coin. Et c’est alors que deux inconnus, un homme et une toute jeune femme se promenant souvent dénudée, débarquent dans une caravane avec l’envie d’être le plus loin possible de la civilisation…

Avis : J’ai eu un peu de mal à entrer dans cette lecture ; il faut se faire à l’ambiance. C’est de l’humour noir, décalé, un brin crado, pas trop ce que j’affectionne d’habitude.

Puis, c’est comme tout, on s’habitue ! J’ai donc finalement été touchée par cette bande d’impertinents, d’arnaqueurs sympathiques, qui jouent les andouilles alors qu’ils sont malins et rusés. J’ai vraiment fini par les prendre en affection ! Quels petits filous irrésistibles ! Le fait que le point de vue ainsi que la narration soient ceux d’un enfant y a fait aussi je pense. Il s’avère donc que, à partir de la moitié, j’ai passé un moment plutôt agréable et distrayant. Une toute petite déception pour la fin, mais je ne peux pas en dire plus… 😉

Un petit bonbon de second degré, à déguster (malgré d’odeur^^) !

On crée des liens ! : J’ai mis le temps mais j’ai finalement trouvé à quelle scène la relation du shérif et de Sagamore me faisait penser : le commandant allemand de la Kommandantur et De Funès et Bourvil dans le Corniaud ! « J’avais rendez-vous un lundi. «  »C’était pas un lundi ! C’était un dimanche  » […] « De moi, vous osez vous foutez ! »