Celle qui brûle, Paula Hawkins

Celle qui brûle, Paula Hawkins

15 mars 2022 0 Par Flo

Petite anecdote : voici le second livre que je lis de Paula Hawkins, après La fille du train, et j’ai eu exactement la même expérience de début de lecture : quelques lignes lues dans un supermarché et je fus accrochée ! Au point, pour la deuxième fois donc pour cette auteure, de repartir avec le livre, chose que je fais extrêmement rarement, je dois acheter 4 livres par an. Je peux donc dire que son écriture sait me parler, peu importe l’histoire !

En bref :

  • Titre : Celle qui brûle
  • Auteur : Paula Hawkins
  • Polar – Thriller
  • Note :  4/5
  • Editeur : Sonatine
  • Nb pages : 464

Résumé : Un homme est retrouvé assassiné sur sa péniche à Londres. Nous allons suivre les jours suivants aux côté des différentes femmes qui avaient toutes un lien avec lui. L’occasion de se rendre compte qu’elles ont toutes des fêlures.

Avis : J’ai trouvé le début confus au niveau des personnages et de leurs relations. J’ai eu un peu de mal à raccrocher les wagons. Cela s’est cependant amélioré ensuite.

On trouve dans cet opus des extraits d’un roman écrit par un des personnages : je dois dire que j’y ai trouvé un côté « déjà vu », mais j’avoue, cela faisait pleinement sens ici.

Et pour le petit détail, on peut trouver un plan du quartier où se situe l’action en début de roman : super ! Par principe, j’adore ce genre de détails mais en plus j’y ai eu recours de nombreuses fois. Bien pratique !

L’histoire est celle d’un polar/thriller assez classique, sans violence ni horreur. Moi, ça me va ! Ça ne sera pas le livre de l’année mais j’ai passé un bien bon moment !

On crée des liens ! : J’avais vraiment apprécié « La fille du train » de Paula Hawkins mais certains personnages m’avaient déplu ou du moins exaspéré. Ici, je les ai plus appréciés. Aucun de m’agaçait, j’étais plutôt relativement en empathie. Je trouve que l’aspect psychologique avec « Pourquoi chacun fait ce qu’il fait ? Tout n’est pas si simple. » était plus présent. Mais il y avait moins de suspense. Égalité donc 😉